Prologue(1) La peau a été numérotée 5 par le crayon d’un archiviste moderne. Computus domini Petri de Balma baillivi(2) On emploie toujours ici la forme baillivus. terre Baugiaci et Coloigniaci et castellani Burgi in Breysia a die iovis ante festum beati Urbani anno Domini Mo CCo nonogesimo[sic] (3) On emploie toujours ici nonogesimus pour nonagesimus. quarto usque ad diem sabbati decimam sextam diem mensis aprilis anno nonogesimo quinto, videlicet de quadraginta et octo septimanis, receptus apud Chambayriacum passonagium
introgia
banna
clame
summa expense, salarii et librate : VIIXX VIII lb. XIIII s. I d. vien.
Notes
1
- La peau a été numérotée 5 par le crayon d’un
archiviste moderne.
2 - On emploie toujours ici la forme baillivus. 3 - On emploie toujours ici nonogesimus pour nonagesimus. 4 - burge / siam 5 - On vient de lire distinctement burgesiam, et le mot est ici raturé. Aurait-on d’abord commencé à écrire burgundiam ? 6 - On lira plus loin quorundam, pour quorumdam, et c’est la seule occurrence où la consonne nasale qui précède le d du suffixe de l’adjectif indéfini n’est pas abrégée. 7 - On a écrit destrees. 8 - On lit ici vincencio, tocius, negociis, euncium, que l’on transcrit – selon la convention d’édition prescrivant l’usage général de la graphie classique – Vincentio, totius, negotiis, euntium. 9 - On a écrit destres. 10 - On attendrait clemente. 11 - On avait commencé par écrire -ar en abrégé, mais il était effectivement plus sage d’y renoncer. 12 - Lire cathedre. 13 - On a écrit garione, assez gauchement corrigé par l’ajout d’un signe d’abréviation dans l’interligne supérieur. 14 - La lettre que l’on distingue avant IIII denarios ne paraît pas appartenir à l’abréviation de solidos, peut-être plutôt à celle de libras. 15 - On a écrit pro, mais l’écriture de tout cet ajout, probablement d’une autre main, paraît peu soignée et assez cursive, comme s’il avait été ajouté hâtivement. |